Małgosia Magryś | Photographie..........................................................................

La fin d'été mais certainement pas la fin des surprises. Dans un coin de la cour deux femmes s'envisagent bien que ce ne soit pas vraiment une rencontre les yeux dans les yeux.

L’image raconte une leçon de couture ou un dialogue tangible.

Un seau rouge par terre, une tête à turban rouge et une robe en vitrine, elle aussi rouge, forment à trois une diagonale discontinue ascendante.

Le thé de Noël à l’atelier de Marie Carnévalé avec, cette année, son invitée Claire Sauvaget.

Quand on marche en ville, il est difficile d’ignorer les vitrines. Surtout si elles descendent dans la rue même. 

Je regardais discrètement par la fenêtre et je me posais la question sur cette fantaisie qui, à mon sens, manquait de cohérence mais était bel et bien colorée : dans la rue, sur un trottoir, il y avait des mandarin

L’été dernier encore, je me suis arrêtée pour regarder cette scène de deux pères avec leurs enfants.

Une séance de travail à l'atelier de Marie Carnévalé visible sur son site :

Et pourtant il y a comme une note de mystère persistant dans cette scène des photos photographiées.